Urgence climatique et écologique : la contribution du Président de l'Assemblée de Corse

Le 19 décembre 2019, l'Assemblée de Corse déclarait solennellement l'urgence climatique et écologique. Dans cette perspective, la Présidence de l'Assemblée de Corse livre une contribution qui dresse une liste non exhaustive des solutions possibles et qui établit les objectifs politiques de la déclaration d’urgence climatique et écologique




Lors de sa séance des 19 et 20 décembre 2019, sur proposition du Président Jean-Guy Talamoni, l’Assemblée de Corse a déclaré l’urgence climatique et écologique.
Cette déclaration représente la reconnaissance officielle par l’institution de l’impact des activités humaines sur l’environnement et sur le réchauffement climatique. Elle rappelle également la responsabilité de chacun dans l’entreprise de sauvegarde de l’humanité.

Une stratégie à définir 

Aussi, le vote de cette déclaration engage la Collectivité de Corse dans la lutte contre le réchauffement climatique et l’adaptation de notre société à ce changement. L’institution doit désormais établir un diagnostic et élaborer un plan d’action.  

La contribution du Président de l'Assemblée de Corse

Dans cette perspective, la Présidence de l’Assemblée de Corse a d’ores et déjà entamé une réflexion relative à la stratégie à adopter.
Sa contribution prend la forme d’un document (ci-dessous) qui constate les effets du changement climatique en Corse, qui dresse une liste non exhaustive des solutions possibles et qui établit les objectifs politiques de la déclaration d’urgence climatique et écologique. 

Une consultation à mener

Dans la délibération 19-459, l’Assemblée de Corse a décidé d’engager une concertation sur l’urgence climatique et écologique réunissant les institutions de la Corse, la société civile, les universitaires, les chercheurs, les associations, les syndicats et les acteurs économiques.
Selon le Président de l’Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, cette concertation doit prendre la forme d’une conférence permanente. En effet, ce format pourrait permettre un temps de travail plus étendu, une consultation plus large et une analyse plus précise de la situation. Cela garantirait in fine l’élaboration d’un plan d’action pertinent et parfaitement en phase avec la réalité du territoire.

La contribution

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