Emile Zuccarelli et les grands principes




Lors du « Club de la presse » de ce jour sur RCFM, Emile Zuccarelli s’est lancé dans une longue tirade sur la liberté de la presse, précisant qu’il ne s’agissait pas de sa part d’une quelconque flagornerie…

Nous l’avons pourtant connu moins respectueux de cet élémentaire principe démocratique, notamment le jour où il a physiquement empoigné un caméraman de France 3 corse, en pleine salle du Conseil municipal, afin de l’empêcher de filmer l’intrusion d’un groupe de militants. Ces derniers entendaient protester contre la répression et en particulier celle qui menaçait de frapper Jean Castela et Vincent Andriuzzi, dont le procès allait avoir lieu…

Cette affaire avait été étouffée on ne sait trop dans quelles conditions. Pas même un mot à l’antenne. À l’époque, la direction de France 3 nous avait expliqué que Monsieur Zuccarelli s’était excusé.

On imagine ce qu’il se serait passé si un élu nationaliste avait levé la main sur un journaliste. Il est peu probable que des excuses auraient suffi à éviter une polémique, voire un procès…

JGT

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