Ségolène, des excuses



Ségolène Royal s’est trouvé une occupation. C’est même un job à plein temps : passer derrière Sarkozy et s’excuser, au nom de la France, chaque fois qu’il dit une sottise. Après l’épisode du discours de Dakar, voilà qu’elle écrit au premier ministre espagnol, José Luis Zapatero, lequel aurait été présenté par le président français comme « pas tellement intelligent » (ce qui, du reste, n’est peut-être pas totalement faux, si l’on en juge à sa façon de traiter la question basque : la même méthode que Sarkozy chez nous !).

Puisqu’elle s’installe aujourd’hui dans cette fonction de préposée à la repentance, il ne serait pas inutile, ni injuste, qu’entre l’Espagne et les Antilles, Ségolène Royal trouve un moment pour la Corse.

D’autant qu’au cours de ses nombreuses visites dans notre pays, Nicolas Sarkozy a alimenté un véritable bêtisier dans lequel l’ineptie le dispute à l’arrogance

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